BETTINA DELAVEAUD
Infographiste multimédia, Illustratrice, Scénariste.
Communication print, audiovisuelle et numérique.
Participation au concours 2017, 1ère édition.
Participation au concours 2018, 2ème édition.
Festival 48H Sous L'Eau,
Concours de courts-métrages.
Deux participations au concours en 2017 et en 2018.
Participation au jury en 2019.
Le concours
Le 48h Sous l’Eau est un festival Lyonnais dédié au cinéma Bis, Z, de genres et aux nanars, au cours duquel est organisé un concours de courts-métrages réalisés en 48h.
Le concept d'un film 48h
Les contraintes sont données aux équipes participantes le vendredi soir. Elles ont alors jusqu'au dimanche même heure, pour écrire, réaliser, monter et rendre un film.
La différence ici, avec un autre concours en 48h, c'est que les contraintes sont toutes plus absurdes les unes que les autres.
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Participations
Avec une équipe de moins de 10 personnes, j'ai écrit, réalisé et monté trois courts-métrages lors de la 1ère, 2ème et 4ème édition du concours.
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Les contraintes en 2017 étaient :
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Contrainte de double-genre : Film pour enfant / Film érotique.
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Contrainte personnage : Quand l'un des personnages parle, il y a toujours des explosions.
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Contrainte commune : Placer un "Blop".
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En 2018 :
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Thème : badass.
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Contrainte de double-genre : Documentaire / Film érotique.
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Contrainte personnage : Un personnage se fait écraser par un camion.
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Et en 2023 :​
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Thème : pandémie.
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Un personnage meurt obligatoirement.
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Tous les personnages qui meurent, doivent mourir façon Marion Cotillard.
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Un personnage est le seul survivant d'une catastrophe grâce à une habitude absurde.
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Pour la 3ème édition, j'ai posé ma casquette de concurrente et j'ai rejoins le jury qui déterminait la remise des prix.
Participation au concours 2023, 4ème édition.
Zombie Walk, trailer pour les réseaux sociaux, 2017
L'événement
La Zombie Walk de Lyon est un événement organisé par l'association AOA Prod dont je fais partie depuis 2015.
Le trailer
L'objectif de cette vidéo était de lancer notre campagne de communication avec un trailer annonçant la date de l'événement.
L'Escalier, court-métrage, 2011
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Ce projet s'inscrit dans un atelier auquel je me suis inscrite en parallèle de ma troisième année de licence Infocom. Cela fut ma première expérience dans l'audiovisuel.
Nous étions cinq à concevoir et gérer ce projet de court-métrage pour lequel nous avons été initié tout d'abord, à l'écriture de scénario et de storyboard avec tout ce qui s'ensuit de découpage cinématographique (séquences, plans...). Puis, nous avons dû nous occuper des castings d'acteurs, des repérages de lieux, obtenir des autorisations de tournage, et enfin établir des plannings. Les tournages m'ont permis pour la première fois d'appliquer ce que j'avais pu apprendre concernant les cadrages, la prise de sons, l'éclairage, etc... Mais également d'apprendre à diriger un projet et même de diriger des acteurs.
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Synopsis
Pierrick est un homme ordinaire travaillant dans une agence de communication. Son poste lui plaisait beaucoup au départ, mais finalement, traversant une phase où il se sent de moins en moins à la hauteur, voilà qu'un de ses jeunes collègues, fraîchement arrivé, décroche le projet sur lequel ils étaient tous deux en concurrence. C'est alors qu'en rentrant chez lui, il laisse son esprit divaguer à ses fantasmes, véritable exécutoire à sa frustration. C'est en montant les marches de son immeuble les unes après les autres, que ses rêves prennent formes, divaguant entre flashbacks et projections utopiques.
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Concept
Cette réalisation a fait l'objet d'un concours dont le thème était « fantasme ». Sa construction repose sur une architecture complexe oscillant entre les flashbacks de Pierrick, remontant de plus en plus loin dans son vécu, et ses projections utopiques, où il laisse libre court à son imagination et surtout à ses désirs les plus profonds et les plus inavouables. La métaphore de l'escalier est l'élément central de cette histoire, car c'est bien marche après marche que le protagoniste effectue son voyage introspectif.
